je bande à en crever pour un mâle 65+ ans, énorme, bedonnant, poilu, dont la bite épaisse a trempé toute la journée dans un slip crade

chez vous, avachi dans votre fauteuil, cuisses énormes écartées, vous m’attrapez la nuque et vous collez mon visage contre votre slip.

je veux que vous sortiez votre sexe , que vous tiriez la peau pour libérer votre gland gonflé, lisse, chargé de cette odeur puissante de mâle en rut : sueur tiède des couilles, pointe de pisse oubliée, parfum musqué qui explose quand vous le frottez lentement sous mes narines, sur mes joues, mes lèvres, jusqu’à ce que tout mon visage pue votre queue.

vous m’écraserez la nuque, vous barbouillerez mon nez de votre prépuce odorant, vous laisserez couler votre prépuce sur mes narines jusqu’à ce que je sois trempé de votre odeur et de votre jus clair.

et quand vous jugerez que j’ai assez respiré votre parfum de vieux cochon, vous me donnerez l’ordre, d’une voix grave :

« nettoie-moi ça maintenant,. lèche tout, avale mon odeur, fais briller mon gland avec ta langue. »

je serai à genoux entre vos cuisses énormes, chez vous, asphyxié par votre odeur, et j’obéirai aussitôt, jusqu’à ce que vous me gicliez en pleine figure

première fois. discrétion totale.

dites-moi votre âge, votre poids, et comment sent votre queue après une journée sans lavage. photos bienvenues (gland sorti, prépuce retroussé, traces de jus).